References
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Presque partout signifiera constamment dans ce travail: excepté, au plus, pour les points ďun ensemble de mesure (linéaire ou superficielle, suivant les cas) nulle. A ce point de vue, deux fonctions, presque partout égales, possèdent les mêmes coefficients de Fourier; nous les considérerons comme identiques. Il est donc à noter que les égalités ou les relations entre fonctions que nous pourrons démontrer doivent être prises dans ce sens seulement : qu'elles sont vraies presque partout.
Du théorème de Weyl découlent, sans autre, les résultats donnés parM. Lauricella dans la Note:Sopra gli sviluppi in serie di funzioni ortogonali [Rendiconti del Circolo Matematico di Palermo, t. XXIX (1er semestre 1910), pp. 155–163].
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Sur les systèmes orthogonaux ie fonctions et ľéquation de Fredholm [Comptes Rendus hebdomadaires des séances de ľAcadémie des Sciences (Paris), t. CXLIV (Ier semestre 1907), pp. 734-736].
Sur quelques applications géométriques des séries de Fourier [Annales scientifiques de ľécole Normale supérieure (Paris), 3e série, t. XIX (1902), pp. 357–408].
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VoirA. Haar, 1. c. 4).
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H. Weyl, 1. c. 15).
H. Weyl, 1. c. 15), page 314.
Les systèmes orthogonaux [ϕ p (S)] [ψ p (μ)]trouvés sont des systèmes fermés; ils ont de plus la propriété de pouvoir, par des combinaisons linéaires, approcher uniformément toute fonction continue. Le théorème IV de ma Note:Sàtçe über Système beschränkter Orthogonalfunktionen [Mathematische Annalen, Bd. LXVIII (1910), pp. 270-278] leur est donc applicable. On en déduit que la formule de Fourier est applicable à une classe de fonctions plus étendue que la classe des fonctions de carré sommable.
E. HiLB,über Integraldarstellungen willkürlicher Funktionen [Mathematische Annalen, Bd. LXVI (1909), pp. 1–66];H. Weyl,über gewöhnliche Differentialgleichungen mit Singularitàten una die zugehörigen Entwicklungen willkürlicher Funktionen [Mathematische Annalen, Bd. LXVIII (1910), pp. 220-269].
J’ai démontré {Integraldarstellungen willkürlicher Funktionen [Mathematische Annalen, Bd. LXVII (1909), pp. 519-534]}, sous des coaditions très larges la convergence des intégrales de Hilb. J’y supposais que les coefficients de ľéquation différentielle étaient des fonctions analytiques. Cette restriction est inutile [voir pour cela:H. Weyl, l. c. 21), page 266]. Les résultats subsistent entièrement si ľon supposep(s)\(\frac{{dp}}{{ds}}\), q (s) continus et p (s) ≥ o.
Ceci pour obtenir la plus grande extension possible dans ľapplication du théorème de convergence en question.
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Plancherel, M., Leffler, M. Contribution À ĽÉtude de la reprÉsentation D’une fonction arbitraire par des intÉgrales dÉfinies. Rend. Circ. Matem. Palermo 30, 289–335 (1910). https://doi.org/10.1007/BF03014877
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